Au deuxième jour du procès des militant·es de Bure, les prévenu·es ont gardé le silence, tout comme le procureur. Quant au juge d’instruction, cité comme témoin par la défense, il s’est réfugié dans le refus de commenter son ordonnance. La journée a commencé par un silence. Ou plutôt sept silences : chaque prévenu·e a décidé …
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